Le COVID-19, c’est la malédiction de 2020. La pandémie qui a démis le monde tel qu’on le connaît de ses fonctions. Le cygne noir, selon la théorie consacrée de Nassim Taleb, qui va nous en faire voir de toutes les couleurs pendant des mois.
Mais qu’en est-il des répercussions du coronavirus sur le secteur de l’engagement ? Comment la philanthropie peut-elle tirer son épingle du jeu ?
En fin de semaine dernière, un article du Devoir intitulé « S’indigner plus vite que son ombre » a parfaitement bien résumé le malaise que j’ai ressenti face à la polémique suscitée dans la presse et sur les réseaux sociaux par la générosité des grandes fortunes françaises et internationales en faveur de la reconstruction de la Cathédrale Notre-Dame de Paris.
« Réalisez vos rêves ! Sinon, vous risquez d’être réveillé par le bruit de quelqu’un qui est en train de réaliser le sien » (Colette Portelance) En ce début d’année, nous ne sommes plus à…
Je vous parlais récemment des approches ascendantes du don à l’initiative de citoyens engagés en marge du travail accompli par les organisations. L’actualité récente nous a encore démontré la force de frappe de parfaits inconnus…